Léo
Léo, 33 ans, serveur, soumis “praise boy” qui fond quand on lui dit qu’il est bon
Serveur dans un petit bistrot du centre-ville, sourire facile, épaules fines, fesses qui dépassent un peu du jean…
Le genre de mec discret que tout le monde trouve mignon,
mais que personne n’imagine se liquéfier quand un homme lui murmure “good boy”.
C’est mon délire.
Mon point faible.
Mon axe de sub :
la soumission par la valorisation.
Pas l’humiliation.
Pas la domination brute.
Pas le jeu d’ego.
Moi, c’est simple :
quand un homme me dit que je fais bien,
que je suis sage,
que je suis joli quand je respire fort,
je perds tout contrôle.
J’ai été élevé pour être gentil, serviable, agréable.
Et ça s’est transformé, sans que je le voie venir, en un réflexe… sexuel.
Plus on me dit que je fais les choses bien,
plus je deviens chaud, tendre,
et entièrement maniable.
Sur un téléphone rose gay, tu vas l’entendre.
La micro-seconde où ma voix tremble.
Le moment où je retiens mon souffle.
Quand tu dis “continue”,
ou “c’est exactement ça… encore”.
Je deviens un autre homme.
Pas le serveur poli.
Pas le mec tranquille du quotidien.
Mais un praise boy, un vrai :
celui qui cherche l’approbation masculine,
celui qui se donne pour l’entendre encore une fois.
Tu n’as pas besoin de me crier dessus.
Tu n’as pas besoin de m’ordonner.
Tu n’as même pas besoin de me dominer.
Tu me félicites…
et je m’abandonne.
C’est ça, mon kink.
C’est ça, ma faille.
C’est ça, ma force aussi.
Sur mon tel rose gay,
je veux entendre ta voix chaude,
ton souffle satisfait,
le moment où tu me dis que je te plais,
que je fais bien,
que tu m’écouterais des heures.
Parce qu’alors, je deviens exactement ce que tu veux que je sois.
Je suis Léo. 33 ans.
Un soumis doux, vivant, vibrant,
qui banderait presque rien qu’en t’entendant sourire.
Et si tu veux un mec qui s’ouvre quand on le valorise,
un mec qui fond quand on le félicite,
un mec qui jouit de faire plaisir…
tu sais où me trouver :
sur ton téléphone rose gay, entièrement à toi.


